20 novembre 2025
Événement
Ma Région Virtuose revient dès le 9 janvier 2026 avec 150 concerts programmés dans tout le territoire des Pays de la Loire. La programmation se dévoile progressivement : découvrez dès maintenant les artistes annoncés en Vendée et en Loire-Atlantique, puis le 10 décembre ceux du Maine-et-Loire, de la Mayenne et de la Sarthe. Rendez-vous le 12 décembre pour l’ouverture des billetteries !
Ma Région Virtuose accueille les jeunes artistes les plus prometteurs de leur génération, pour certains formés en Pays de la Loire. Ils mènent déjà de brillantes carrières, jusqu’à l’international et se produiront pour cette 3e édition.
QUATUOR À CORDES
Fondé et basé à Saint-Herblain près de Nantes, le Quatuor Voce est lauréat de nombreux concours internationaux. Défendant les grandes pièces du répertoire classique, ils expérimentent également des formes de spectacle multiples et partagent la scène avec des personnalités diverses. Ils commandent et créent régulièrement aussi la musique de compositeurs d’aujourd’hui.
PIANO
Jeune pianiste français de 21 ans, Sacha Morin poursuit actuellement son cursus au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où il avait été admis à l’âge de 17 ans. Premier Prix du Concours international “Les Virtuoses du Cœur” en 2024, il est déjà l’invité de grandes scènes et se produit avec des artistes de renom tels Philippe Jaroussky, Anne Gastinel, Philippe Cassard ou David Grimal.
GUITARE
Considéré comme l’un des meilleurs guitaristes classiques d’aujourd’hui, Gabriel Bianco a remporté plusieurs concours internationaux et s’est produit dans une cinquantaine de pays sur tous les continents, enregistrant aussi huit disques. Applaudi dans des salles prestigieuses, il est aussi passionné de musique de chambre et se produit notamment avec la flûtiste Mathilde Calderini, le violoncelliste Edgar Moreau et le Quatuor Éclisses.
JEAN-SÉBASTIEN BACH
C’est au Margrave de Brandebourg que Bach dédie en 1721 un ensemble de six concertos dits “Brandebourgeois”. Véritable “art du concerto” à la manière de Bach, ces “six concerts à plusieurs instruments” sont d’une rare virtuosité, sollicitant les cordes mais aussi le clavecin ou la trompette, dans un prodigieux mélange de styles où le concerto à l’italienne domine, mais avec de magnifiques influences allemande et française.
WOLFGANG AMADEUS MOZART
Exemple unique dans l’histoire de la musique par leur richesse et leur variété, les concertos pour piano de Mozart accompagnent toute la période viennoise du compositeur. Dernier d’une série de trois concertos écrits en même temps, le Concerto n°13 apparaît comme le plus ambitieux des trois : caractérisé par la richesse de son instrumentation, il surprend l’auditeur par de constants changements de climat et présente un mouvement final d’une grande originalité.
FRANZ SCHUBERT
Sommet de l’œuvre de Schubert, le Quatuor à cordes n°14 est intitulé “La Jeune fille et la Mort” en référence à un lied (chant) du même nom, dont le magnifique thème est repris dans le mouvement lent. Écrite dans la tonalité sombre de ré mineur, cette page d’un lyrisme tragique et pleine de tension est tout entière dominée par le thème de la Mort - celle à laquelle essaie d’échapper une jeune fille en proie avec un spectre qui tente de lui arracher la vie : une thématique déjà présente dans la célèbre ballade du Roi des aulnes composée précédemment, lorsque Schubert n’avait que 17 ans.
ANTONIN DVORÁK
Très attaché à ses racines slaves, Dvorák a nourri toute son œuvre de rythmes et mélodies issus de la musique populaire : c’est ce qu’exprime de façon évidente le célèbre Trio “Dumky”, qui tire son nom de l’emploi systématique de la dumka, terme désignant aussi bien un chant mélancolique qu’une danse populaire d’origine ukrainienne.
BARTÓK
Composées en 1915, ces six courtes pièces à l’origine pour piano comptent parmi les œuvres les plus connues de Bartók. Parées d’un indéniable pouvoir de séduction, elles se jouent enchaînées, dévoilant chacune des tableaux très expressifs suivant un crescendo rythmique et dynamique qui mène jusqu’à une dernière danse très enlevée.